Reproduction interdite sans autorisation. Rappel : Toute œuvre créative présente sur l'Internet (texte, photo personnelle,
photomontage...) est protégée par le droit d'auteur.
Ce site ne sera plus mis à jour. Nouveau site :
www.lecafedelarue.be
Elles et ils ont ont joué, mangé, bu, ri au...
Café de la Rue !
Au cœur du Bruxelles populaire, un lieu de chanson, de conte, de rire,
de joies terrestres, d'humble magie et d'amitié.
Cliquez les images pour les voir toutes en plus grand format.
(L'une de ces photos est une intruse !!! Saurez-vous la trouver ?).
www.lecafedelarue.be
Elles et ils ont ont joué, mangé, bu, ri au...
Café de la Rue !
Au cœur du Bruxelles populaire, un lieu de chanson, de conte, de rire,
de joies terrestres, d'humble magie et d'amitié.
Cliquez les images pour les voir toutes en plus grand format.
(L'une de ces photos est une intruse !!! Saurez-vous la trouver ?).
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
 |
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerSupprimé pour simple cause de double emploi...
SupprimerEn postant la photo de ses idoles ( Mick et ses comparses), le webmaster prend ses rêves pour la réalité. Leur venue au Café est prévue en 2034 après leur passage, en vedettes américaines,au concert de Tom à Renouprez-Charneux.
RépondreSupprimerIls passent à l'heure du goûter des enfants. Je passe à minuit.
SupprimerVivement qu'on puisse y retourner !
RépondreSupprimerLes Rolling Stones chez Marie-Noëlle, woohaaa !
RépondreSupprimerEt cette photo des Stones, ça, c'est quelque chose ! Le photographe, un artiste mondialement reconnu pour son génie !
RépondreSupprimerMadame est une femme de goût !
SupprimerJe n'osais pas l'écrire...
SupprimerLes pierres qui roulent
RépondreSupprimerGagné !
SupprimerBien que connaissant la plupart des interprètes, je découvre l'existence de ce lieu, assez éloigné de chez moi. Et je présume, comme les autres commentateurs, que les Rolling Stones n'y sont pas venus, sauf peut-être en spectateurs ;-)
RépondreSupprimerC'est effectivement le cas, un soir où je jouais.
RépondreSupprimerTom Goldschmidt